Chers diocésains, Notre pays, comme de nombreux pays européens, entre dans un nouveau confinement en raison de la dégradation de la situation sanitaire. Aussi, comme au printemps dernier et à compter du 3 novembre, nous ne pourrons plus nous rassembler physiquement pour célébrer l’Eucharistie et les autres sacrements. Je sais que s’exprime ici et là – et je le comprends – de la lassitude à devoir revivre une expérience éprouvante, de l’incompréhension et même de la colère (qui n’est jamais bonne conseillère !)